MERCI POUR CES MOTS PLUS OU MOINS ANONYMES :
« J’ai envie de vous dire d’aller voir si vous êtes à Marseille au théâtre de la joliette cette sublime pièce… J’ai pleuré de beauté et cela m’a fait tellement de bien. Quelle douceur, quelle intelligence, poésie… Merci Merci » AV.
» Ai vu la pièce deux fois. Un seul regret: ne pas l’avoir vue une troisième. Plusieurs mentions particulières s’il faut détacher quelque chose : la grand-mère (tout compris: le jeu de la comédienne, le costume et le rôle), l’arbre debout et dans sa chute, et les effets sonores sur le noir aux changements de scènes.
A-do-ré ! » CM
« Bravo pour ce magnifique spectacle où tout concoure à nous emmener dans les fascinantes immensités mexicaines et regarder en face les ravages de la pensée et de l’action impériale coloniale, hélas encore largement à l’œuvre un peu partout dans le monde et dans notre pays. Cecilia, Antigone moderne plus ouverte que celle de l’Antiquité nous conduit avec une simplicité désarmante dans ce périple tragique et nous insuffle colère et courage, les enfants de l’espérance, souffle de la vie. Scénographie, lumières, costumes, sons, comédiennes et comédien magistralement orchestré.e.s nous offrent ce voyage dans ce très beau conte … initiatique ?… » FC
» Allez y !!! c’est top :du théâtre qui nous raconte une histoire!!
c’est rare de nos jours! » SD
« Ce spectacle m’a subjugué et transporté. Un moment rare et inoubliable. Un texte fort qui parle de choses importantes. En tant que nord-américaine, canadienne, ayant vécue sur ces terres plus au nord je suis épatée. Métie Navajo, vous avez su capter et transmettre de manière subtile toute la douleur et les injustices des premières nations qu’on nous a souvent caché. La mise en scène de Jean Boillot est tellement juste et forte, nourrie d’une scénographie et d’une création sonore exceptionnelle. Le jeu des acteurs/trices honore le tout d’une humilité rare. Voilà je compte sur les doigts d’une main ce genre de moment. Et vous en remercie. » VB ou JM
« Je viens de rentrer du théâtre et je voulais vraiment remercier Métie N d’écrire des choses aussi belles, tendres, intelligentes, émouvantes et drôles ! Je ne suis pas sortie depuis des mois mais la vraiment je ne regrette rien tellement ce moment passé avec ces acteur.rices si justes, si légers et lourds à la fois, si sages qu’on a envie de monter sur scène et de les prendre dans les bras et faire partie de la famille des humains qui pensent encore. »
PUIS « Vraiment j’ai adoré ! Les actrices Amalia et Cecilia sont époustouflantes de justesse. J’ai rarement vu jouer avec autant de naturel et de simplicité. Le texte est d’une grande beauté, jamais de pathos, des tirades qui font réfléchir, qui te tourmentent presque. Ca fait mal, ca fait pleurer mais souvent on rit quand même pour équilibre toutes ces émotions intenses et concentrées. Merci pour ce cadeau. »
» La terre entre les mondes est un grand grand grand spectacle, comme on n’en voit pas si souvent ! Parce que la pièce de Métie Navajo fait si intelligemment résonner les questions de notre présent au bord du volcan… Parce que la mise en scène de Jean Boillot porte ses mots avec toutes leurs vibrations politiques, écologiques, féministes, altermondialistes et humaines tout simplement, et en toute délicatesse. Parce que tout est beau ici, sensible et cohérent : la scéno, le son, la lumière, les costumes. Parce que les acteurs/trices sont si fort.es, si fragiles, si engagé.es ! Courez le 8.12 à St Michel sur Orge ou à Thionville ou au Perreux ! C’est du théâtre qui donne du courage… » FR (1ere fois)
PUIS UN AN PLUS TARD : « 2ème fois que je vois « La terre entre les mondes », et je suis encore plus admiratif de cette oeuvre si pleine, si juste, si délicatement écrite par Métie Navajo , si bien dirigée par maestro Jean Boillot, si généreusement offerte par une distribution formidable ! Travail ad hoc de son, d’espace et de lumière qui porte toujours le sens et ouvre notre imaginaire : tout ici est suggéré et vous vous retrouvez pourtant bien au cœur du Mexique, entre la ville et la forêt, entre les vivants et les morts, entre le rêve et la réalité, entre des cultures venues du fond des âges et notre modernité qui ravage…» FR
« Oui c’était formidable d’une puissance extrême… Et ça a réchauffé mon cœur qui est toujours un peu en Amérique latine… » IDS
« J’ai été emporté par le spectacle ! L’espace scénique, celui sonore d’une grande finesse, comme toujours la direction d’acteurs-trices et bien sûr le texte que j’ai ressenti violemment actuel et sensiblement intime – bref un spectacle qui m’a beaucoup plu et bien marqué ! » GC
« Nous sommes sortis bouleversés du théâtre hier soir. C’est un spectacle d’une incroyable humanité, un texte sublime, d’une poésie percutante. Vous nous avez embarqués dans un univers onirique dont nous ne sommes pas vraiment sortis aujourd’hui encore ! Le plateau est d’une qualité incroyable, servant merveilleusement les mots de métie Navajo. On été unanimes pour louer l’intelligence de la mise en scène, ce théâtre de révolte et d’émotions, ce théâtre qui nous fait plus riche et nous donne l’envie de nous battre. […] Je n’ai pas parlé de la scéno, du travail toujours aussi délicat et subtil de Christophe Hauser… J’ai eu un moment de crainte car l’une de nos amies qui était avec nous vient de perdre deux proches en moins de quinze jours…. Son visage était lumineux à la fin du spectacle nous disant que cette soirée lui avait redonné force et espoir.
Je ne suis pas très sûr de trouver les bons mots pour te dire ce que nous avons ressenti. « Merci » ou « bravo » semblent bien fades, alors je ne dis rien juste que parfois on a l’impression d’assister à des moments suspendus et que hier ce fut le cas et… C’EST RARE ! » AT
« Bravo pour ce formidable travail de jeu, de lumière, de son et d’espace. Une mise en scène toute en finesse et qui donne l’essentiel à chaque instant. Je garde de forte impressions. Merci. » AR
« Je ne suis pas restée pour ne pas rentrer trop tard, mais mon ébahissement n’en est pas moins intense : quelle délicatesse que ce spectacle ! Quelle douceur pour raconter cette terrible histoire, c’est si beau ! […] c’est une petite pépite que je n’oublierai pas.