NO WAY VERONICA au 11.Avignon pendant le festival. Nous présentons à 15h15 notre spectacle du 7 au 29 juillet, relâche les lundis.
Petit tour de presse…

ARTS MOUVANTS

 » […] On l’aura bien compris, No Way Veronica est une comédie misogyne, et ce, pour bien sûr mieux la dénoncer.
Cette effroyable chose qu’est une femme, entrer dans la base ? No Way !!!!
Le huis clos musical, parodique et festif joue avec tous les codes de la culture pop dans un patchwork décalé et d’une efficacité jouissive. No way Veronica ou Nos Gars ont la pêche, La pièce du festival à ne pas manquer !! »
9 juillet 2021 > article complet ici

PLUTON MAGAZINE

  » […] Brouillant toutes les pistes de la convenance, ce spectacle ovni est un pur régal, un fix pour doux-dingue, injectant dans la grosse veine bleue une dose massive de joie et d’énergie bienfaitrices. »

Angelo Corda, juillet 2021 > article complet ici

M-LA SCENE

UN PETIT BIJOU D’HUMOUR
« Jean Boillot et son équipe reprennent une nouvelle version de No Way, Veronica, ou nos gars ont la pêche, au 11. Avignon. Pastiche d’un film d’horreur des années 80, cette « comédie misogyne » se joue de tous les codes et nous embarque dans un univers déjanté et jouissif… »

 MLB, juillet 2021 > article complet ici

MADININ-ART.NET

 » […] On pourrait parler de comédie musicale, ils préfèrent parler de « comédie misogyne »! Tous les musiciens-comédiens sont étonnants. Mention spéciale pour la comédienne Isabelle Royanette qui joue tous les rôles, à l’aide de pédales à effets.
Sous l’énormité du comique se dissimule à peine une satire de la guerre des sexes, un conte philosophique sur la peur de l’autre. L’autre absolue, c’est la femme, quelle qu’elle soit, chargée de tous les maux, plus redoutable que tous les Alliens réunis. C’est féroce, c’est jubilatoire! « 
Michèle Bigot, juillet 2021 > article complet ici

LA REVUE DU SPECTACLE

« No Way, Veronica, du théâtre rock-and-roll, version remix, high level performance !
Ce spectacle n’est absolument pas correct ! Il va même à l’encontre de toutes les morales, de toutes les courtoisies. Il est sans vergogne, sans cache-sexe. Un opéra du « tout fout le camp », je vous assure. Un nid de langues vipérines, de voluptés misogynes et même d’orgies. Mais on nous dira que c’est du second degré ! Bien sûr !… »

Bruno Fougniès, 30 juin 21 > article complet ici